| Edward Hicks Magill - 1870 - 494 pages
...s'élevaient de dessus s ses plaines, et paraissaient, au coucher du scleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...les flancs des collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant0 l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait,... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1871 - 448 pages
...s'élevaient de dessusses plaines, et paraissaient, au coucherdu soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur le flanc des collines, le cou tendu vers le ciel, -aspirant l'air, faisaient retentir les vallon s... | |
| Edward Hicks Magill - French language - 1872 - 482 pages
...s'élevaient de dessus 5 ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...des collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant e l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait,... | |
| Francisco de Tramarria (comp) - 1882 - 408 pages
...coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun refraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements: le Caffre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur.... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1886 - 296 pages
...flam)nes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère em-» brasée. L'orbe de la lune, tout rouge, se levait dans un horizon...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur; mais partout... | |
| Arvède Barine - SAINT-PIERRE, JACQUES HENRI BERNARDIN DE, 1737-1814 - 1891 - 204 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...Les troupeaux, abattus sur les flancs des collines, aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - French literature - 1897 - 176 pages
...dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit 5 même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère...collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant l'air, 10 faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait... | |
| Education - 1900 - 554 pages
...s'élevaient de dessus ces plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait, se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur... | |
| Antoine Albalat - Style, Literary - 1901 - 338 pages
...s'élevaient de dessus les plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n-'apportait aucun rafraîchissement...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur : mais partout... | |
| Henri Bornecque - French literature - 1924 - 240 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur... | |
| |