| François Noel - 1835 - 596 pages
...n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout ronge se levoit dans un horizon embrumé , d'une grandeur démesurée....collines, le cou tendu vers le ciel , aspirant l'air, faisoient retentir les vallons de tristes mugissements : le Caffre même qui les conduisoit se couchoit... | |
| C Victor Martin - 1837 - 332 pages
...coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraichissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout...se levait dans un horizon embrumé, d'une grandeur déme-- surée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant... | |
| François Noel - 1838 - 788 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissemens :• le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur.... | |
| Jacques Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1839 - 528 pages
...comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'almosphère embrasée. L'orbe de la lune , tout rouge, se levait,...l'air , faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur;... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...lune tout rouge se levait dans un horizon embrumé 1, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - French language - 1843 - 408 pages
...s'élevaient de dessus ces plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme des flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout rougo, se levait dans un horizon embrumé d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur les... | |
| Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 172 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur;... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 170 pages
...coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement in l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge,...troupeaux, abattus sur les flancs des collines, le con tendu vers le ciel, aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1846 - 300 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient au coucher du soleil comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver la fraîcheur... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1848 - 512 pages
...s'élevaient de dessus les plaines, et paraissaient, au coucher du soleil , comme les flammes d'unincendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur; mais partout... | |
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