| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...s'élçvaient de dessus ses plaines , et paraissaient , au coucher du soleil , comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge , se levait da,ns oo^horizon embrumé , d'une grandeur démesurée. Les troupeaux , abattus sur les flancs des collines... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - French fiction - 1819 - 272 pages
...plaines, et paroissoient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge, se levoit, dans un horizon embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur les flancs... | |
| French language - 1821 - 434 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissemens : le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre, pour y trouver de'la fraîcheur.... | |
| Authors - 1824 - 488 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient , au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements : le Caffre même qui les conduisait se couchait sur la terre, pour y trouver de la fraîcheur;... | |
| Jacques Henri Bernardin de Saint Pierre - 1824 - 430 pages
...plaines, et paroissoient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge, se levoit dans un horizon embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur les flancs... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - French literature - 1825 - 582 pages
...dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit meme n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur;... | |
| René-François Bescher - 1828 - 556 pages
...brûlés en procession à Lisbonne, et aspirant à tous les privilèges de la Grande-Bretagne. (VOLTAIRE.) Les troupeaux abattus sur les flancs des collines , le cou tendu vers, le ciel, aspirant l'air, fesaient retentir les vallons de tristes mugissements. . • . ; ( BEHNARDIN DE SAINT-PIERRE. ) II... | |
| G. Hamonière - Portuguese language - 1829 - 418 pages
...incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe dela lune, tout rouge, se levait, dans un horizon embrumé...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes muvage , estrago. Vers la fin , pelos fins. Au , no. Capricome , capricoralo. Échauffer , aquentar.... | |
| G. Hamonière - Portuguese language - 1829 - 424 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...troupeaux, abattus sur les flancs des collines, le cou tendnvers le ciel, aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes muvnge , estrago. Vers... | |
| French language - 1834 - 632 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la Inné, tout rouge, se levait dans un horizon embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus... | |
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