| Bernardin de Saint-Pierre - French literature - 1848 - 510 pages
...flammes d'unincendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphèreembrasée. L'orbe de la lune, tout rouge, se levait dans un horizon...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur; mais partout... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1852 - 154 pages
...coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun refraîcliissement à l'atmosphère embrasée./ L'orbe de la lune, tout...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. Le Cafre môme qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur ; mais partout... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1852 - 194 pages
...coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun refraîcliissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout...horizon embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupemix, abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vera le ciel, aspirant l'air, faisaient... | |
| Charles Jean Delille - French literature - 1855 - 612 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...lune, tout rouge, se levait, dans un horizon embrumé 1 , d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1863 - 524 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines , et paraissaient , au coucher du soleil , comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur;... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1863 - 208 pages
...s'élevaient de dessus les plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...grandeur démesurée. Les troupeaux , abattus sur le flanc des collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1864 - 440 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...d'une grandeur démesurée. Les troupeaux, abattus sur le flanc des collines, le cou tendu vers le ciel,' aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de... | |
| Jacques Henri Bernardin de St. Pierre - 1867 - 524 pages
...s'élevaient de dessus les plaines , et paraissaient , au coucher du soleil , comme les flammes d'unincendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...faisaient retentir les vallons de tristes gémissements. LeCafre même qui les conduisait se couchait sur la terre pour y trouver dela fraîcheur; mais partout... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1869 - 176 pages
...s'élevaient de dessus les plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes gémissement». Le Caire même qui les conduisait se couchait sur la terre ponr y trouver de la fraîcheur;... | |
| Paul Stapfer - Guernsey - 1869 - 472 pages
...s'élevaient de dessus les plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers k ciel, aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui... | |
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