 | Henri Martin - France - 1849 - 576 pages
...je ne pense pas, rien ne nie prouve que je sois. Je suis donc quelque chose, dont toute l'essence ou nature n'est que de penser*, et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu ni d'aucune chose matérielle. Le MOI, c'est-à-dire l'âme par laquelle je suis ce que je suis, est donc... | |
 | René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...pense , je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. Et quoique peut-être, ou plutôt certainement, comme je le dirai tantôt, j'aie un corps auquel je suis... | |
 | Blaise Pascal, Ernest Havet - Apologetics - 1852 - 690 pages
...je ne •1 pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... ; je connus de là que j'étais » une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui , pour » être, n'a pas besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'aucune chose matérielle...,» etc. * a Il ne nous est pas... | |
 | Blaise Pascal - 1852 - 684 pages
...je ne • pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... ; je connus de là que j'étais > une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui , pour » être, n'a pas besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'aucune chose matérielle...,» etc. 9 « II ne nous est pas... | |
 | Louis Auguste J.F.P. Gruyer - 1855 - 1066 pages
...pense , je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser./ Enfin, il démontre la distinction réelle des deux substances, par cet argument : « Il suffit que... | |
 | Jacques André Émery - 1857 - 1142 pages
...pense, je conclus forbien que mou essence consile en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. El quoique peut-être, ou plutôt certainement, j'aie un corps auquel je suis très-élroitement conjoint,... | |
 | henri martin - 1858 - 570 pages
...je ne pense pas, rien ne me prouve que je sois. Je suis donc quelque chose, dont toute l'essence ou nature n'est que de penser ' et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu ni d'aucune chose matérielle. Le MOI, c'est-à-dire l'âme par laquelle je suis ce que je suis, est donc... | |
 | Émile Saisset - 1862 - 510 pages
...que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui peut-être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle, en sorte que ce moi, c'està-dire l'âme par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu'elle est... | |
 | Emile Saisset - 1862 - 498 pages
...eût été vrai, je n'aurais aucune raison de croire que j'eusse été, je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui peut-être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle, en sorte que ce moi, c'està-dire... | |
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... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle... 
