| François Génin - French language - 1856 - 460 pages
...est celui dont les vers suivans fournissent l'exemple : Quoi qu'en dise Aristote et sa docte cahale. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Quoi que la voix du ciel ordonne de Séïde. Dire, faire,... | |
| Eugène Geruzez - Literature - 1857 - 470 pages
...qui s'épuise s'il ne s'alimente. 1. Travnillc/ à loisir, quelque ordre qui TOUS presse. BOILKAU. 2. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , uu méchant écrivain. Les moyens de recrutement pour le langage sont d'abord... | |
| Bobé - 1857 - 58 pages
...\ Mon esprit n'admet point un pompenx barbarisme, , Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme: Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Boileau. 2. Verses with crossed rhymes : Elle m'a prodigué... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1857 - 624 pages
...vicieux. Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain *. Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse, Et... | |
| François Joseph M. Noël - 1858 - 328 pages
...presque jamais semblables à nous-même. 32. Moins on a de désirs et moins on porte de chaînes. 33. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fasse, un méchant écrivain. 34. Les peines réelles que la sensibilité cause quelquefois, sont généralement... | |
| François Noel - 1858 - 394 pages
...presque jamais semblables à nous-même. 35. Moins on a de désirs, et moins on porte de chaînes. 86. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fasse, un méchant écrivain. 37. Les peines réelles que la sensibilité cause quelquefois, sont généralement... | |
| Jules Guilliaume - Finance - 1898 - 248 pages
...grammaire > . Cette fois (une fois n'est pas coutume), M. de Banville se trouve d'accord avec Boileau : Sans la langue en un mot l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fasse, un méchant écrivain. Aussi, ne peut-il s'empêcher de blâmer le maître impeccable d'avoir... | |
| Charles Lenient - French drama - 1898 - 384 pages
...Joignez-y l'insuffisance du style trop souvent incorrect, bizarre, obscur et forcé. Boileau l'a dit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Et voilà comment Lemercier, avec un noble esprit et un grand... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1898 - 368 pages
...: Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme1. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain*. Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse, Et ne... | |
| Victor Delaporte - Français (Langue) - 1898 - 252 pages
...: et j'ignore si l'on en trouve un exemple chez Corneille et Racine. On en trouve un chez Boileau : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Certes, ce serait là pour nous une rime très riche; mais... | |
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