 | Molière - 1877 - 520 pages
...de vos chevaux ; et que votre cocher, qui étoit celui d'avant moi, vous donna, dans l'oljscunlé, je ne sais combien de coups de bâton dont vous ne voulûtes rien dire. Enlin, voulez-vous que je vous dise? On ne saurait aller nulle part, où l'on ne vous entende accommoder... | |
 | Pierre Augustin Pellissier - French language - 1878 - 332 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups...rien dire. Enfin, voulez-vous que je vous dise? on ne saurait aller nulle part où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces : vous êtes la fable... | |
 | Molière - 1878 - 504 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna, dans l'obscurité, je ne sais combien de coups...dire. Enfin , voulez-vous que je vous dise? On ne saurait aller nulle part, où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces. Vous êtes la fable... | |
 | Frédéric Julien - French language - 1878 - 142 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux, et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna, dans l'obscurité, je ne sais combien de coups de bâton, dont vous ne voulûtes rien dire. . . . Vous êtes la fable et la risée de tout le monde, et jamais on ne parle de vous que sous les... | |
 | Jacques Claude Demogeot - French literature - 1878 - 584 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux ; et que votre cocher, qui étoit celui d'avant moi, vous donna, dans l'obscurité, je ne sais combien de coups de bâton dont vous ne voulûtes tien dire. Enfin, voulez-vous que je vous dise? On ne saurait aller nulle part, où l'on ne vous entende... | |
 | Jacques Claude Demogeot - French literature - 1880 - 592 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux ; et que votre cocher, qui étoit celui d'avant moi, vous donna, dans l'obscurité, je ne sais combien de coups...voulûtes rien dire. Enfin, voulez-vous que je vous dise 1 On ne saurait aller nulle part, où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces. Vous êtes... | |
 | Molière - 1882 - 686 pages
...surprit, une nuit, en venant dérober vous-même l'avoine de voschevaux; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, TOUS donna, dans l'obscurité,...rien dire. Enfin, voulez-vous que je vous dise? on ne saurait aller nulle part où l'on ne vousentende accommoder de toutes pièces. Vous êtes la fable... | |
 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1882 - 152 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux ; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna, dans l'obscurité, je ne sais combien de coups...rien dire. Enfin, voulezvous que je vous dise ? On ne saurait aller nulle part, 30 où l'on ne vous entende accommoder de toutes pièces. Vous êtes la fable... | |
 | Gotthold Ephraim Lessing - 1882 - 632 pages
...dérober vous-même l'avoine de vos chevaux, et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton, dont vous ne voulûtes rien dire. giebt, glaube id) niä)t, bafj einem fein untreues ©ebädjlnifc einen fo ШфегКфеп ißoffen... | |
 | Molière - French drama - 1882 - 156 pages
...vous-même l'avoine de vos chevaux, et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans 1420 l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton, dont vous ne voulûtes rien dire. Enfin, voulez- vous que je vous dise ? on ne saurait aller nulle part où l'on ne vous entende accommoder... | |
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Vous êtes la fable et la risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu. 
