...et que les fausses couleurs, quelque industrieusement qu'on les applique, ne tiennent pas. Là notre admirable princesse étudiait les devoirs de ceux...l'histoire: elle y perdait insensiblement le goût des romans2 20 et de leurs fades héros; et soigneuse de se former sur le vrai, elle méprisait ces froides...

...et que les fausses coyleurs, quelque industrieusement qu'on les applique, ne tiennent pas. Là notre admirable princesse étudiait les devoirs de ceux...elle méprisait ces froides et dangereuses fictions. Ainsi, sous un visage riant, sous cet air de jeunesse qui semblait ne promettre que des jeux, elle...

...que les fausses couleurs, quelque industrieusement qu'on les applique, ne tiennent pas. Là, notre admirable princesse étudiait les devoirs de ceux dont la vie compose l'histoire : elle y perdait 1. Depuis la mort de la reine gieuse et morale île Madame iLe d'Angleterre, Bossuet lui-même ve-...

...le dessein d'avancer dans cette étude « de la sagesse, qui la tenait si attachée à la lecture de l'histoire... « Elle y perdait insensiblement le...méprisait ces « froides et dangereuses fictions. » J'avoue que bien souvent, dans ma vie, envoyant le temps que les femmes et les hommes du monde perdent...

...la lecture de l'histoire, qu'on appelle avec raison la sage conseillère des Princes. ... Là notre admirable princesse étudiait les devoirs de ceux...elle méprisait ces froides et dangereuses fictions. Ainsi sous un visage riant, sous cet air de jeunesse qui semblait ne promettre que des jeux, elle cachait...

...connoissance. (Gazette 825-26) When Bossuet underscores the fact that Henriette had abandoned worldly novels ("elle y perdait insensiblement le goût des romans et de leurs fades héros"; 167), it is quite possible he might have gestured towards the third funerary figure, with the books...

...d'une constante application aux femmes qui se distinguent par leurs goûts sérieux : « Là notre admirable princesse étudiait les devoirs de ceux...elle méprisait ces froides et dangereuses fictions. Ainsi, sous un visage riant, sous cet air de jeunesse qui semblait ne promettre que des jeux, elle...

...dessein d'avancer dans cette » étude de la sagesse , qui la tenait si attachée à la » lecture de l'histoire... Elle y perdait insensiblement » le goût des romans et de leurs fades héros , et soi» gneuse de se former sur le vrai, elle méprisait ces » froides et dangereuses fictions. » J'avoue...