| Dalhousie University - 1885 - 230 pages
...cette douce conformité qui sans cesse y maintient l'honneur, la tranquilité et la joie. Froxine. — Mon Dieu ! je sais l'art de traire les hommes ; j'ai...secret de m'ouvrir leur tendresse, de chatouiller leurs coeurs, de trouver les endroits par où ils sont sensibles. La Flèche. — Bagatelles ici. Je te défie... | |
| Molière - 1886 - 376 pages
...n'est rien de plus sec et de plus aride que ses bonnes grâces et ses caresses; et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion, qu'il ne dit jamais...tendresse, de chatouiller leurs cœurs, de trouver les t.'iidroits par où ils sont sensibles. LA FLÈCHE. Bagatelles ici. Je te défie d'attendrir, du côté... | |
| Molière - 1886 - 184 pages
...n'est rien de plus sec et de plus aride que ses bonnes grâces et ses caresses : et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion, qu'il ne dit jamais...bonjour. FROSINE. Mon Dieu, je sais l'art de traire les 2s hommes ! J'ai le secret de m'ouvrir leur tendresse, de chatouiller leurs cœurs, de trouver les... | |
| Karl von Reinhardstöttner - Comparative literature - 1886 - 826 pages
...moins humain, le mortel de tous les mortels le plus dur et le plus serré ... et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion qu'il ne dit jamais ,je vous donne', mais ,je vous prête le bon jour'." Frosine hat alsbald (6.) Gelegenheit, diese Wahrnehmung selbst zu machen. Alle ihre Schmeicheleien... | |
| Karl von Reinhardstöttner - Comparative literature - 1886 - 818 pages
...moins humain, le mortel de tous les mortels le plus dur et le plus serre ... et douner est un mot ponr qui il a tant d'aversion qu'il ne dit jamais ,je vous donne', mais ,je vous prete le hon jour'. " Frosine hat alsbald (6.) Gelegi'nheit. diese Wahrnehmung selbst zu machen. Alle... | |
| Félix Hémon - French literature - 1893 - 634 pages
...trouvait grossière plus d'une expression que Frosine se permet sans scrupule : Mon Dieu ! je sais l'arl de traire les hommes; j'ai le secret de m'ouvrir leur...trouver les endroits par où ils sont sensibles... Me voit-on mêler de rien dont je ne vienne à bout? J'ai, surtout pour les mariages, un talent merveilleux.... | |
| Charles Louis Livet - French language - 1897 - 848 pages
...après m'avoir tirée de l'eau. — L'Av., 1, i. * C'est-à-dire : que voutjlte» éclater pour moi. Mon Dieu ! je sais l'art de traire les hommes; j'ai...m'ouvrir leur tendresse, de chatouiller leurs cœurs. - Ibid., II, A. * C'est-à-dire : d'ouvrir pour moi. Ce m'est une gloire bien grande de me voir assez... | |
| Léo Rouanet - Entremés - 1897 - 342 pages
...plus précis : « Los caballeros, Iras dejarse gozar, darân dineros ! » 31. « Donner est un motpour qui il a tant d'aversion, qu'il ne dit jamais je vous donne, mais je vous prête le bonjour. » Molière, L'avare, il, se. v. 32. Les lettres du chevalier de la Tenaille, petit ouvrage de Quevedo.... | |
| Molière - French language - 1897 - 188 pages
...n'est rien de plus sec et de plus aride que ses bonnes grâces et ses caresses : et donner est un mot pour qui il a tant d'aversion, qu'il ne dit jamais Je vous donne, mais Je vous prêta le bonjour. FROSINE. Mon Dieu, je sais l'art de traire les ** hommes ! J'ai le secret de m'ouvrir... | |
| Charles-Louis Livet - French language - 1897 - 858 pages
...finir. M"' DB SCUDÉHT, Mathilde, 1667, p. 36; - Cf. IB., ibid., p. lia. TRAIRE, au fg., dépouiller. Mon Dieu! Je sais l'art de traire les hommes; j'ai le secret de m'ouvrir leur tendresse. - L'Av., II, h. TRAIT : 1° Trait d'écriture. 55g Jetez ici les yeux, et connoissc/ vos traits. -... | |
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