Grundriss der Geisteskrankheit: unterhaltende und belehrende Mittheilungen über das Schicksal der Irren

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Eupel, 1867 - Mental illness - 280 pages
 

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Page 2 - What is a man, If his chief good and market of his time Be but to sleep and feed? a beast, no more. Sure he that made us with such large discourse, Looking before and after, gave us not That capability and god-like reason To fust in us unus'd.
Page 81 - Il est mort sans souffrir, et de la mort la plus douce , la plus enviée par les militaires. Je sens vivement votre douleur. Le moment qui nous sépare de l'objet que nous aimons est terrible ; il nous isole de la terre ; il fait éprouver au corps les convulsions de l'agonie. Les facultés de l'âme sont anéanties , elle ne conserve de relations avec l'univers, qu'au travers d'un cauchemar qui altère tout. Les hommes paraissent plus froids , plus égoistes qu'ils ne le sont réellement. L'on sent...
Page 121 - Give me another horse! bind up my wounds! Have mercy, Jesu! Soft! I did but dream. O! coward conscience, how dost thou afflict me. The lights burn blue. It is now dead midnight. Cold fearful drops stand on my trembling flesh.
Page 141 - Nam velut infirmo pucri teneroque vagantur Corpore; sic animi sequitur sententia tennis : Inde, ubi robustis adolevit viribus aetas, Consilium quoque majus, et auctior est animi vis...
Page 143 - Tout ce que je demande, ajouta-t-elle, c'est de pouvoir mourir tranquillement. Que le soleil est doux ! ditelle en s'asseyant sur un tertre vert; que l'air est enivrant et pur! Les oiseaux gazouillent sous la feuillée, les insectes bruissent sous l'herbe...
Page 62 - Social advancement is as completely under the control of natural law as is bodily growth. The life of an individual is a miniature of the life of a nation.
Page 143 - ... s'asseyant sur un tertre vert; que l'air est enivrant et pur! Les oiseaux gazouillent sous la feuillée, les insectes bruissent sous l'herbe, les herbes frémissent à nos pieds, et la brise semble confier de doux mystères aux fleurs qui s'entr'ouvrent pour les recevoir. Quel luxe! quels parfums! quels flots de sève et de vie débordent de toutes parts! Toutes les joies s'éveillent et chantent sur la terre : c'est jour de fête sous le ciel, et, seule, je suis triste à pleurer.
Page 53 - Chacun de nous est une plante dans le sein de sa mère, un animal à sa naissance, un ange après sa mort, constamment préoccupé s'il est digne, de maintenir sa bête par son âme.
Page 192 - Les relations du physique et du moral sont chez l'homme si intimes que toutes ses beautés progressent et déclinent parallelem eat.
Page 37 - ... qu'elle n'est pas unique pour tous les êtres vivants, mais bien spéciale à chaque espèce d'être, et particulière à chaque individu dont elle est la forme substantielle. 2° L'âme est unie au corps comme sa forme substantielle; elle n'est pas localisée dans une partie du corps, mais répandue partout; et la conjonction n'a pas lieu dans un point seulement, mais partout ; de sorte que dans chaque acte les deux composants se retrouvent.

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