| Bernardin de Saint-Pierre - Nature - 1788 - 488 pages
...n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphere embrasée. L'orbe de la lune tout rouge , se levoit, dans un horizon embrumé , d'une grandeur démesurée....collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant l'air , faûoient retentir les vallons de tristes mugissemens. Le Cafre même, qui les conduisoit, se couchoit... | |
| ST. GILES OXFORD - 1788 - 636 pages
...n'âpportoit aucun rafraîr chissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout rouge, se levoit , dans un horizon embrumé , d'une grandeur démesurée....collines, le cou tendu vers le ciel , aspirant l'air, faisoient retentir les vallons de tristes mugissemens. Le Cafre même , qui les conduisoit , se couchoit... | |
| Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1789 - 346 pages
...n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphere embrasée. L'orbe de la lune tout rouge , se levoit dans un horizon embrumé d'une grandeur démesurée....collines ; le cou tendu vers le ciel , aspirant l'air , faisoient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisoit , se couchoit... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1789 - 268 pages
...I.'orbe de la lime toute rouge , se levoit, dans un horizon embrumé, d'une grandeur démésurée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines , le cou tendu vers le ciel, aspirant l'air. faisoient retentir les vallons de tristes mugissemens. I e cafre même qui les conduisoit, se courhoit... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 456 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines , et paraissaient au coucher du soleil , comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...aspirant l'air, faisaient retentir les vallons de tristes mugissement. Le Cafre même, qui les conduisait , se couchait sur la terre , pour y trouver de la fraîcheur.... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 278 pages
...embrasée. L'orbe de la lune tout rouge , se levoit dans un horizon emlmimé d'une grandeur démesurée.-Les troupeaux abattus sur les flancs des collines ; le cou tendu vers le ciel , aspirant l'air , faisoient retentir les vallons de tristes mugissements. Le Cafre même qui les conduisait , se couchait... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 506 pages
...et paroissoient au coucrjer du soleil , comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportoit aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout rouge , se levoit dans un horizon embrumé d'une grandeur démesurée. Les troup? aux abattus sur les flancs des... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - Natural history - 1797 - 464 pages
...s'élevaient de dessus ses plaines , et paraissaient au coucher du soleil j. comme les flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement...embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge , se levait , clans un horizon brumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - Mauritius - 1797 - 202 pages
...L'orbe de la lune tout rouge, se levoit, dans un horison em* .brumé, d'une grandeur démésurée. Les troupeaux abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers le eiel, aspirant l'air, faisoient retentir les vallons de tristes mugissetnens. Le Cafre même, qui les... | |
| Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1800 - 120 pages
...rafraîchissement à l'athmosphère embrasée. L'orbe de la lune tout rouge se levoit dans un horison embrumé, d'une grandeur démesurée. Les troupeaux...collines , le cou tendu vers le ciel , aspirant l'air , faisoient retentir les vallons de tristes mugissemens. lie Cafre même, qui les conduisent , se conchoit... | |
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