Bonaparte et Hoche en 1797 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires agents Allemagne Ancône Anglais août armée Augereau Autrichiens Barras blique Bona Bonaparte Bottot c'était Carnot cession Chérin choses Cisalpine citoyen Clarke Cobenzl Comité commandement conquête Conseils constitution constitutionnelles Corps législatif coup d'État d'Antraigues déclara Direc Directeurs Directoire donner écrit écrit-il ennemis expédition d'Irlande factions Frédéric fructidor gauche du Rhin général en chef gloire gouvernement guerre Hoche hommes HÜFFER Irlande Italie Italiens jour juillet l'Angleterre l'armée de Sambre-et-Meuse l'Autriche l'empereur l'Empire l'Europe l'expédition l'Irlande l'Italie laisser Larevellière Lavalette Légations Leoben lettre liberté limite du Rhin Lombardie maître mande marche Mayence ment mesures Milan militaire ministre monarchie Moreau Napoléon Ier nation négociation nement octobre paix Passariano patrie patriotes pays peuple Pichegru politique Pologne pouvoir préliminaires Prusse Répu républicains république cisrhénane république de Venise République française Reubell Révolution rive gauche romaine Rome Sandoz secret septembre sera seul sion soldats SYBEL Talleyrand Thugut tion toire traité triumvirs troupes Truguet Venise vénitiens Wolf Tone
Popular passages
Page 47 - ... supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables, l'Allemagne n'en sera pas moins ravagée. Quant à moi, monsieur le général en chef, si l'ouverture que j'ai l'honneur de vous faire peut sauver la vie à un seul homme, je m'estimerai plus fier de la couronne civique que je me trouverais avoir méritée, que de la triste gloire qui peut revenir des succès militaires.
Page 95 - L'Empire des Turcs s'écroule tous les jours ; la possession de ces îles nous mettra à même de le soutenir autant que cela sera possible , ou d'en prendre notre part. Les temps ne sont pas éloignés où nous sentirons que , pour détruire véritablement l'Angleterre , il faut nous emparer de l'Egypte. Le vaste Empire ottoman , qui périt tous les jours , nous met dans l'obligation de penser de bonne heure à prendre des moyens pour conserver notre commerce du Levant.
Page 158 - Seine, il n'ya qu'un pas... Vos iniquités sont comptées, et le prix en est au bout de nos baïonnettes !» « La route de Paris offre-t-elle plus d'obstacles que celle de Vienne?
Page 74 - Croyez-vous que ce soit pour faire la grandeur des avocats du Directoire, des Carnot, des Barras, que je triomphe en Italie ? Croyez-vous aussi que ce soit pour fonder une république ? Quelle idée ! Une république de trente millions d'hommes ! Avec nos mœurs, nos vices!
Page 18 - France eût été aussi sage, aussi modéré , aussi attaché aux principes de l'Evangile, la religion romaine n'aurait subi aucun changement en France ; mais la corruption de la monarchie avait infecté jusqu'à la classe des ministres de la religion : l'on n'y voyait plus des hommes d'une vie exemplaire...
Page 159 - Je vois que le club de Clichy veut marcher sur mon cadavre pour arriver à la destruction de la République. N'est-il donc plus en France de républicains? et, après avoir vaincu l'Europe, serons-nous donc réduits à chercher quelque angle de la terre pour y terminer nos tristes jours...
Page 58 - Impériale son désir d'asseoir ladite paix sur des bases solides et équitables, conviennent d'une cessation d'hostilités entre l'Empire germanique et la France, à commencer d'aujourd'hui : il sera tenu un congrès, formé...
Page 216 - Talleyrand, sous forme d'apologie de sa conduite. Il exposait les avantages du traité; il énumérait encore une fois les motifs pour conclure; il y ajouta la mort de Hoche et le mauvais plan d'opérations adopté par l'armée du Rhin; enfin il insista sur l'envie de la paix « qu'a toute la République, envie qui se manifeste même dans les soldats » . Sans doute on sacrifie Venise, mais tout le parti patriote dans cette ville ne fait pas...
Page 54 - Croyez-vous que , dans un moment où je suis au cœur de l'Allemagne, je sois impuissant pour faire respecter le premier peuple de l'univers? Croyez-vous que les légions d'Italie souffriront le massacre que vous excitez? Le sang de mes frères d'armes sera vengé, et il n'est aucun des bataillons français qui , chargé d'un si noble ministère, ne sente redoubler son courage et tripler ses moyens.
Page 212 - Français pour eux. Je vois par vos lettres que vous partez toujours d'une fausse hypothèse : vous vous imaginez que la liberté fait faire de grandes choses à un peuple mou, superstitieux, pantalon et lâche.