Satires traduites en yers français1811 |
Common terms and phrases
Achaintre aliquid Apicius atque Autonoes avaient Bathyllus Canope caput Cérès César Cicéron clients Consul Crispinus Cujus Cybèle dieux Domitien domus Dusaulx eadem enfans enim envain epig époux ergo erit esclave espèce fameux felix femme fibula front fureur gladiateur Grecs habet hæc Hippia histrions homme Horace hunc illa ille illis inde infâme inquit inter ipsa ipse jeux Juvénal laniste lex Julia licet magna magno main Martial mihi mœurs multa nemo Néron nihil nocte nuds nunc omnes omnia pantomimes parle patron pectore Pline poëte porte portique Postumus Præterea propter pudeur pulpita qu'un quæ quam quantum quid Quintilien quis quod quoque quoties quum rhéteurs rien Romains Rome satire Scholiaste semper Sénèque sesterces seul sibi sportule Suétone sunt tamen tantum tems Thymèle tibi Trajan tria nomina Tribuni tunc turpi Ursidius uxor veteres Virgile Virron yeux
Popular passages
Page 19 - Quel sujet inconnu vous trouble et vous altère ? D'où vous vient aujourd'hui cet air sombre et sévère , Et ce visage enfin plus pâle qu'un rentier A l'aspect d'un arrêt qui retranche un quartier...
Page 209 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 23 - D'un double cadenas font fermer les boutiques ; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le marché-neuf tout est calme et tranquille ; Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.
Page 49 - Atque recens linum ostendit non una cicatrix? Nil habet infelix paupertas durius in se, Quam quod ridiculos homines facit. Exeat...
Page 21 - Fait paraître en courant sa bouillante vigueur : Qui jamais ne se lasse, et qui dans la carrière S'est couvert mille fois d'une noble poussière : Mais la postérité d'Alfane et de Bavard » , Quand ce n'est qu'une rosse , est vendue au hasard...
Page 22 - En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse : L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé.
Page 178 - Audio, quid veteres olim moneatis amici: Pone seram, cohibe: sed quis custodiet ipsos Custodes ? cauta est et ab illis incipit uxor.
Page 210 - C'est à vous que je parle, ma sœur. Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile...
Page 16 - II brise de Séjan la statue adorée ; Soit qu'il fasse au conseil courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs ; Ou que , poussant à bout la luxure latine, Aux porte-faix de Rome il vende Messaline ; Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.
Page 21 - S'est couvert mille fois d'une noble poussière : Mais la postérité d'Alfane et de Bayard ' , Quand ce n'est qu'une rosse , est vendue au hasard , Sans respect des aïeux dont elle est descendue , Et va porter la malle , ou tirer la charrue. Pourquoi donc voulez- vous que , par un sot abus , Chacun respecte en vous un honneur qui n'est plus ? On ne m' éblouit point d'une apparence vaine : La vertu , d'un cœur noble est la marque certaine.