Voyage aux Pyrénées |
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Adolphe Joanne arbres bande Baréges Basques Bayonnais Béarn beau belle bête Bigorre blanche bleu bleuâtre blocs bois bord brise Broché bruit çà carte cent chemins de fer chevaux chose ciel cimes cœur comte comte de Foix coup dames Dieu eaux Eaux-Bonnes Égypte femme filles flancs fleurs flots François Ier Gave Gèdres gens glaciers gorge guide haut heures hommes in-18 jésus Itinéraire descriptif j'ai joli jour l'air l'eau l'horizon Luchon lumière maisons matin monde montagnes monte montent mousses murs neige noir nuages ondule Orton passe passions pauvre paye en sus paysage pensée pente petits pieds Pierre de Marca pierres plaine plaisir plans porte poussière Pyrénées regard reliure se paye robe roches rouges roule route rue de Fleurus ruisseaux sauter sauvage seigneur sent seul sire de Coarraze soir soleil sombre sorte terre tête tiges traînée trouve vagues vallée vallée d'Ossau verdure verte vieux vignettes yeux
Popular passages
Page 144 - ... je suis fort proche des ennemis, et n'ai quasi pas un cheval sur lequel je puisse combattre, ni un harnais complet que je puisse endosser. Mes chemises sont toutes déchirées, mes pourpoints troués au coude, ma marmite est souvent renversée, et depuis deux jours je dîne et soupe chez les uns et les autres, mes pourvoyeurs disant n'avoir plus moyen de rien fournir pour ma table, d'autant qu'il ya plus de six mois qu'ils n'ont reçu d'argent.
Page 65 - L'amiral de Coligny et les seigneurs protestants s'y rendent pour assister à ces noces et pour conférer de la guerre des PaysBas. La reine de Navarre meurt, peut-être empoisonnée : «Reine, n'ayant de femme que le sexe, «l'âme entière aux choses viriles, l'esprit puissant «aux affaires, le cœur invincible aux adversités.
Page 203 - Et s'il vous plaît que tous les jours, depuis midi jusques à quatre heures, nous allions dedans ce beau pré, le long de la rivière du Gave, où les arbres sont si feuilles...
Page 201 - Espagne que d'autres lieux : les uns, pour boire de l'eau ; les autres, pour s'y baigner, et les autres, pour prendre de la fange, qui sont choses si merveilleuses que les malades abandonnés des médecins s'en retournent tons guéris.
Page 231 - Ce chaos de lignes violemment brisées annonce l'effort de puissances dont nous n'avons plus l'idée. Depuis, la nature s'est adoucie; elle arrondit et amollit les formes qu'elle façonne ; elle brode dans les vallées sa robe végétale, et découpe, en artiste industrieux, les feuillages délicats de ses plantes. Ici, dans sa barbarie primitive, elle n'a su que fendre des blocs et entasser les masses brutes de ses constructions cyclopéennes. Mais son monument est sublime, digne du ciel qu'il a...
Page 319 - Mauvoisin; et presque tous les jours aux » barrières y avoit faits d'armes et escarmouches de ceux » de dedans à ceux de dehors. Et vous dis que ceux de » Mauvoisin se fussent assez tenus, car le chastel n'est » pas prenable, si ce n'eSt par long siège; mais il leur » avint que on leur tollit d'une part l'eau d'un puits qui » sied au dehors du chaStel, et les citernes que ils...
Page 73 - Il ouvre mon rideau, et me dit : « Ma mie, je vous ai celé une chose qu'il faut que je vous avoue. Je vous prie de m'en excuser et de ne vous point souvenir de tout ce que je vous ai dit pour ce sujet ; mais obligez-moi tant...
Page 201 - Et quand ce vint à passer le Gave Béarnais qui, en allant, n'avait point deux pieds de profondeur, le trouvèrent tant grand et impétueux qu'ils se détournèrent pour chercher les ponts, lesquels, pour* n'être que de bois, furent emportés par la véhémence de l'eau. Et quelques-uns...
Page 75 - Pin, secrétaire du roi mon mari, (lequel possédait infiniment son maître , et avait grande autorité en sa maison , menant les affaires de ceux de la religion) lequel y envoya des gardes du roi mon mari , qui les tirant hors, et les battant en ma présence , les menèrent en prison, ou ils furent long-temps et payèrent une grosse amende.
Page 46 - Sainte Marie! dis-je au chevalier, que vos paroles me sont agréables et que elles me font grand bien entrementes (pendant) que vous les me contez; et vous ne les perdrez pas, car toutes seront mises en mémoire et en remontrance et chronique en l'histoire que je poursuis...