Le spectateur du Nord: journal politique, littéraire et moral, Part 1Chez Pierre François Fauche, imprimeur et libraire, 1798 - Europe |
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18 Fructidor ajourne ANCIENS anglois assez avoient avoit Avril BASSE-SAXE Buonaparte c'étoit Camille Jordan Carite cent Chine Chinois chose CINQ-CENTS citoyens coeur connoissances connoître Conseil adopte Conseil approuve Conseil discute Conseil prend crime Dermid devoit Diable DIANE Directoire donner Dorville élections Eléonore ennemis étoient étoit événemens FAUCHE et COMP Floréal foible force François FRANÇOIS FAUCHE Gazette de Leyde général Germinal gouvernement guerre Hambourg hommes Horgnies idée jour journal juger Kant l'ambassade l'Ambassadeur L'AMOUR l'Angleterre l'auteur l'Europe langue langue chinoise lative liberté libraire Mandarins ment message Ministre Monsieur Mungo Parke n'avoit nation nature Nivose nouvelle ouvrage paix parler paroît Pasigraphie passe Pékin perruques peuple peut-être philosophie Pichegru Pisistrate Pluviose poëte Polydore porte pourroit pouvoit prend une résolution projet de résolution qu'un raison Rastadt relative République réso reste roman Santhonax Schedoni séance sent seroit seul Soho sort Spalatro Stérope Suisse sur-tout tems tion trouve vaisseaux Ventose Vivaldi دو
Popular passages
Page 57 - Dans les conversations et à table , j'ai toujours été ravi de trouver un homme qui voulût prendre la peine de briller : un homme de cette espèce présente toujours le flanc, et tous les autres sont sous
Page 369 - Journal de ce qui s'est passé à la tour du Temple, pendant la captivité de Louis XVI, roi de France, par M.
Page 392 - L'impossibilité où nous avons été jusqu'à présent de pouvoir vous donner de nos nouvelles et l'excès de nos malheurs nous fait sentir encore plus vivement notre cruelle séparation.
Page 374 - Et ces fidèles serviteurs qui ne m'ont point abandonné, ces vieillards qui n'avaient d'autres moyens pour subsister que les modiques pensions que je leur faisais, qui va les secourir? Je vois le peuple, livré à l'anarchie, devenir la victime de toutes les factions, les crimes se succéder, de longues dissensions déchirer la France.
Page 385 - Municipaux se retirèrent dans l'antichambre, et je fermai un des battans de la porte. La messe commença à six heures. Pendant cette auguste cérémonie, il régna un grand silence. Le Roi toujours à genoux, entendit la messe avec le plus saint recueillement dans l'attitude la plus noble. Sa Majesté communia: après la messe, le Roi passa dans son cabinet, et le prêtre alla dans ma chambre, pour quitter ses habits sacerdotaux.
Page 397 - Fontenelle définissoit le mensonge , taire une » vérité qu'on doit. Un homme sort du lit d'une » femme, il en rencontre le mari : D'où venez-vous?
Page 155 - Dieucomme la source de la sagesse, je pensai qu'il était juste et nécessaire de solliciter son assistance pour l'obtenir. Je composai en conséquence la courte prière qui suit, et je la mis en tête de mes tables d'examen , pour m'en servir tous les jours. « O bonté puissante ! père bienfaisant ! guide...
Page 374 - France étant tombé sous sa main , il y lut un logogryphe qu'il me donna à deviner ; j'en cherchai le mot inutilement. « Comment, vous ne le trouvez pas ? Il m'est pourtant bien applicable dans ce moment, me dit-il ; le mot est sacrifice.
Page 386 - Ah! sire, lui dis-je en me précipitant à ses pieds, que ne puis-je par ma mort désarmer vos bourreaux, et conserver une vie si précieuse aux bons Français! Espérez, sire, ils n'oseront vous frapper. — La mort ne m'effraye point, j'y suis tout préparé.
Page 380 - Il y avait sur une table une carafe d'eau à la glace; je n'apportai qu'un verre, et le plaçai près de cette carafe. « Apportez de l'eau qui ne soit pas à la glace, me dit le roi; car si la reine buvait de celle-là, elle pourrait en être incommodée. Vous direz, ajouta sa majesté, à M. de Firmont qu'il ne sorte pas de mon cabinet; je craindrais que sa vue ne fît trop de mal à ma famille.